lundi 13 août 2007

Revue de presse, Festivals jazz Québec

Frisson News

Le week-end dernier se déroulaient deux festivals de jazz simultanés dans la région de Québec. Selon toute vraisemblance, les têtes d'affiche ont rempli leur mandat, assurant leur rôle de locomotive pour déplacer les foules. Quelques extraits…

À propos du concert de Dorothée Berryman au Festival de Jazz de Québec

Dorothée Berryman

Lover ! » Cette tendre apostrophe musicale de Dorothée Berryman saluait les nombreux amants du jazz sentimental qui remplissaient à craquer La Bordée, hier soir, pour commencer en douceur cette fin de semaine de jazz dans Saint-Roch. Jazz et amour formaient un couple irrésistible !

Taquine, elle nous a parlé avec un sourire en coin de son Occasional Man... Avec Dorothée, amour et humour font toujours bon ménage. Alternant chansons anglaises et françaises, elle a enchaîné avec cette coquine « contribution à la survie de la langue française », selon sa propre expression : « Je me fais sucer la friandise, je me fais frotter la péninsule, je me fais tailler la pelisse.... » chantait-elle sans la moindre pudeur !"

Lire l'article complet de Régis Tremblay dans Le Soleil du 10 août. (Photo Steve Deschênes)

À propos d'Oliver Jones au Festival de Jazz Etcetera

Oliver Jones

"Le festival de Lévis peut se targuer d'avoir fait un heureux coup de filet en mettant la patte sur Oliver Jones. C'est que du haut de ses 72 ans, le respecté jazzman est loin d'avoir tout dit. Le public qui avait rempli la salle à pleine capacité, hier, le savait : que ce soit en interprétant des standards ou en proposant des compositions de son cru, comme celles de son récent One More Time, l'artiste montréalais sait toujours étonner, toucher, impressionner.

Si le pianiste aura charmé avec les ballades, comme avec sa version de Somewhere Over the Rainbow, c'est davantage avec ses pièces rythmées qu'il aura soulevé l'enthousiasme. Plus propices à l'improvisation et aux soli, celles-ci mettaient en lumière son jeu fluide, ainsi que son doigté unique, pouvant se faire terriblement léger dans ses envolées virtuoses ou alors lourd et on ne peut plus vibrant."

Lire l'article complet de Nicolas Houle dans Le Soleil du 11 août. (Photo Steve Deschênes)


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